Bakirkoy

 



Bakirkoy

Koy veut dire village. On peut imaginer, comme pour toutes les mégapoles du monde que les villages autour d’Istanbul sont devenus banlieue.

Bakirkoy est donc la quartier que j’avais ciblé comme ligne d’arrivée et de base pour visiter et organiser mon retour en France.

J’avais choisi ce quartier pour sa proximité avec l’aéroport, les nombreux hôtels, le dynamisme qu’il dégageait et… les quelques vélocistes proches qui semblaient à même de démontrer mon destrier, et l’emballer soigneusement en vue d’un rude stockage en soute d’avion.

Ce quartier a été un bon choix, il y a un monde incroyable, des cafés et des restos à profusion, une ambiance très jeune. Mon hôtel se situe à côté de la gare, ce qui est très pratique pour partir à l’attaque des zones à visiter.



Seul bémol, l’avion que j’ai choisi pour rentrer décolle de l’aéroport situé de l’autre côté du Bosphore.

Ce matin je suis parti voir le vélociste le plus proche. Un employé était là qui ne parlait que le Turc. Il a téléphoné et m’a passé quelqu’un que visiblement on réveillait. Le type m’a dit emmenez votre vélo demain, on fera ça.

Bon, je suis allé voir le vélociste plan B qui est devenu plan À. Lui semblait bien plus sérieux.

Je suis allé chercher mon vélo et tout ce que je pouvais mettre dans le carton.

Après midi visite (ou immersion) du Grand Bazar, effectivement il faut voir ça une fois dans sa vie, mais pour moi qui déteste les bains de foule, c’est proche du supplice.



En fin d’après midi l’hôtelier m’a emmené en triporteur chercher mon vélo emballé, j’ai peur que le carton ne soit un peu gros, on verra ça à l’aéroport.




Il me reste une journée complète pour découvrir cette ville.


Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Jour 2 plein sud

Enfin en route