Adieu Turquie



Adieu Turquie

Les Turcs m’ont laissé une assez bonne impression, plutôt sympathiques, d’assez bonne éducation en général. Bien sûr l’Iphone fait les mêmes dégâts que partout, c’est un incroyable constat dans le train ou le métro, chacun a cet objet devenu indispensable à la main. Certains ne se gênent pas, parlent fort ou regardent une vidéo avec le son mais c’est fréquent chez nous aussi.

Dans les embouteillages de cette mégapole, ça klaxonne mais pas tant que ça, et point de pugilats.

Je suis frappé par le nombre important de filles jeunes habillées  traditionnellement malgré la chaleur.

Ce qui interpelle aussi, c’est la cérémonie du thé. Les hommes prennent le thé entre eux souvent dehors et refont le monde. Du plus petit village à la grande place ombragée d’une ville, on boit religieusement le thé et on joue à des jeux de société.

Si j’ai déjà évoqué les chiens qui, dans les villages surtout très tôt le matin, prenaient plaisir à me faire démarrer en sprint intermédiaire, les chats aussi sont à évoquer dans ce voyage. 

Ici à Istanbul notamment, ils vivent leur vie, semblent à l’état sauvage. Ce qui frappe, c’est qu’ils sont tous très jeunes. Pas de vieux chat, l’espérance de vie est donc très limitée pour les greffiers.

Ils sont bien admis mais très méfiants ne se laissant que peu caresser.

Il y a ça et là des gamelles d’eau et de croquettes à disposition pour ces fiers mendiants.

J’ai fait rire mon hôtelier préféré en lui demandant s’ils ne servaient pas de viande à Kebab passé un certain âge.

Autre particularité: les cafés.

À Bakirkoy ils sont alignés les uns à côté des autres avec des terrasses empiétant sur des rues semi piétonnes. Les uns ne proposent que du thé et du café turc😦, quant à ceux qui sont équipés de vraies machines à expressos, ils proposent aussi des pâtisseries et vous ne pouvez donc vous y installer avec des croissants achetés à la boulangerie du coin. 

Pour une bière ou un apéro, il faut aussi être vigilant, de belles brasseries affichant le mot «lounge» peuvent ne pas servir d’alcool.

Les motos. Casque ou pas casque, ça ne semble pas une obligation, tant nombreux sont ceux qui circulent sans, y compris sur la 4 voies à des vitesses folles.

Autre remarque, pas un seul voilier sur le Bosphore alors qu’il y a un vent soutenu depuis que je suis là, alors quid du kite?

Ah, j’allais oublier, chaque soir, un plaisantin chante dans un micro ou un cône de travaux routiers, j’ai trouvé ça drôle le premier soir,  même si cela ne semble intéresser personne, mais à la longue c’est barbant.


Commentaires

Voila ton périple terminé, merci pour ton blog si agréable à lire et à regarder. et encore BRAVO
Viviane Regniez a dit…
Un grand merci Jean Pierre pour les sucreries partagées avec Fomina.
Et merci aussi pour tous ces beaux partages de voyage.
Bravo bravo.
Bises
Viviane R

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